Tell me somethin' girl
Are you happy in this modern world?
Or do you need more?
Is there somethin' else you’re searchin' for?
I’m falling
In all the good times I find myself longin' for change
And in the bad times I fear myself
Tell me something boy
Aren’t you tired tryin' to fill that void?
Or do you need more?
Ain’t it hard keeping it so hardcore?
I’m falling
In all the good times I find myself longing for change
And in the bad times I fear myself
I’m off the deep end, watch as I dive in
I’ll never meet the ground
Crash through the surface, where they can’t hurt us
We’re far from the shallow now
To care : j'aime ce mot, qui dit à la fois la précaution, l'attention, la responsabilité, le souci, l'importance, le soin. Care box : un néologisme pour quelque chose comme, boîte à attention (littéralement en anglais imaginaire, trousse de secours).
27 août 2019
Ever after
Your inner being and his will always love each other (...). Lean in to this pain so it can wash through you and crop up less intensely in future. Remember it all, bless it even as you curse. Create a small ceremony (...) then get ready for what's next, you vibrant, wonderful woman !
Amy
So did I.
20 août 2019
Out of Africa
"...nous ne parlions de rien d’ordinaire (...) ni de quoi que ce soit qui fût étriqué ou concret. Nous vivions comme détachés du réel."
18 août 2019
Boucles
Et puis il y a le retour d'Elsa ce soir à l'internat, au pensionnat comme dirait sa grand-mère - autant de mots pour oublier que la vie n'est pas tout à fait comme elle devrait être, que les soins, la vie de famille en pointillés pour ne pas dire en miettes, la persévérance inépuisable autant qu'épuisante et la fragilité constante restent à l'ordre du jour - malgré nos sourires bravaches.
17 août 2019
10 août 2019
J'veux du soleil
... et on en a reçu, de la lumière, de l'amitié, de la générosité, du bleu plein des yeux. Ce qui vient en premier c'est la gratitude - pour tant de beauté - l'accès direct, constant à la mer, les levers de soleil, cette maisonnette simple et blanche comme un bateau à l'ancre, la bien nommée Coup de roulis. S'endormir en écoutant le bruit des vagues, le double coup du ressac sous les rochers comme un coeur qui bat.
Pour l'amitié qui nous a trouvé ce refuge de rêve, permis ce temps privilégié, cette intimité tranquille dont nous avions besoin tous les trois. Pour la confiance qui se transfère, l'accueil qui se partage, puisque le cabanon appartient à un ami de notre amie, un parfait inconnu qui nous a ouvert sa porte. (Plus inconnu maintenant, et tout à fait charmant).
Pour la vie de château quelques jours, cabanon sur le Cap d'Antibes, bateau invraisemblable (pour se rejouer Mamma Mia : Money money money...), journée dans les îles, restaurant de plage privée, wake-board pour Léo, virée shopping pour Elsa, Fly Fish pour tous. Rien d'indispensable au bonheur, rien qui ressemble à notre quotidien, et c'est justement ce qui fait le prix de chacun de ces instants : la conscience de l'exception, du privilège - tant de gratitude là encore.
Et puis il y a tous les petits bonheurs gratuits, saisis au vol : danser avec Elsa sur la terrasse, de jolies discussions avec Léo sur le chemin du club nautique, une minute de bonheur parfait le soir du dîner sur le bateau, me sentir submergée de tendresse pour tous les présents, sans rien en dire. Pas seulement à cause du ti'punch, mais pour les humains fragiles que nous sommes tous, la beauté des couleurs du soleil couchant, la douceur de l'air alors. Ma sauvageonne qui me dédie sans commentaires - surtout, sans commentaires - Ma merveille de Hoshi. Les enfants qui adoptent ma Ghislaine sans réserve - je ne les ai jamais vus hésiter quand il s'agit de reconnaître les personnes de coeur, et ça me touche absolument.
Nous avons de la chance. Beaucoup de chance.
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