Ni l'un ni l'autre ne sont de la grande littérature, j'en conviens. Et contrairement à mes habitudes, je n'en ai isolé aucun extrait. Le prix est plutôt décerné "pour l'ensemble de l'oeuvre", dans la catégorie : Livres qui rendent la vie légère.
"L'île des Gauchers" est une utopie amoureuse, créative et impertinente - un stimulant renversement de nos perspectives affectives.
"Mange, prie, aime", sous ses allures de "Bridget Jones à l'ashram", est possiblement un petit traité de guérison émotionnelle et spirituelle - et Dieu (!) soit loué qu'il soit possible d'écrire à partir de la profondeur avec humour et légèreté.
"Un mot sanskrit est apparu dans le paragraphe : ANTEVASIN. Il signifie : "celui qui vit sur la frontière". (...) On peut vivre sur cette ligne chatoyante entre son vieux mode de pensée et sa compréhension toute neuve, tout en restant dans une phase d'apprentissage."
Voilà : sous leur apparente futilité - ces deux livres, pour qui les lit avec son coeur, vivent sur la frontière.
"L'île des Gauchers" est une utopie amoureuse, créative et impertinente - un stimulant renversement de nos perspectives affectives.
"Mange, prie, aime", sous ses allures de "Bridget Jones à l'ashram", est possiblement un petit traité de guérison émotionnelle et spirituelle - et Dieu (!) soit loué qu'il soit possible d'écrire à partir de la profondeur avec humour et légèreté.
"Un mot sanskrit est apparu dans le paragraphe : ANTEVASIN. Il signifie : "celui qui vit sur la frontière". (...) On peut vivre sur cette ligne chatoyante entre son vieux mode de pensée et sa compréhension toute neuve, tout en restant dans une phase d'apprentissage."
Voilà : sous leur apparente futilité - ces deux livres, pour qui les lit avec son coeur, vivent sur la frontière.