Est-ce que toutes les histoires d'amour ne seraient que des fictions partagées ? Une histoire "où l'on s'en va deux cueillir en rêvant..." - qui naîtrait de la volonté partagée d'y croire, et s'arrêterait lorsque l'un ou l'autre serait atteint d'une progressive ou subite "crise de foi" - comme dans ces récits où les pays imaginaires n'existent qu'aussi longtemps qu'ils ont des lecteurs pour y croire, des enfants à émerveiller ?
Une histoire que chacun se raconte à sa manière bien sûr, mais avec cette idée d'un territoire imaginaire commun - encore que certains de ces territoires survivent à la rupture (et la provoquent, éventuellement) - le point final parfois se déplace.
Une nouvelle, un haïku, une tragédie, une histoire à l'eau de rose ou un roman-fleuve, remanié, repris, raturé, une oeuvre ouverte toujours sur un à suivre...
Aimer ce serait, écrire à quatre mains - une histoire qu'on se raconte à deux...
Une histoire que chacun se raconte à sa manière bien sûr, mais avec cette idée d'un territoire imaginaire commun - encore que certains de ces territoires survivent à la rupture (et la provoquent, éventuellement) - le point final parfois se déplace.
Une nouvelle, un haïku, une tragédie, une histoire à l'eau de rose ou un roman-fleuve, remanié, repris, raturé, une oeuvre ouverte toujours sur un à suivre...
Aimer ce serait, écrire à quatre mains - une histoire qu'on se raconte à deux...