Je ne sais plus combien j'ai essayé de cours de danse. Le classique, à six ans : expérience traumatique. Le modern jazz, à l'adolescence - et puis à nouveau, jeune adulte. La salsa, en stage de week-end. Rien de très concluant - j'ai déjà du mal avec la droite et la gauche, alors, faire marcher séparément les bras, la tête et les jambes (attends, je compte !)...
Mais...
Il y a eu la liberté de danser retrouvée au Hameau, et celle de la Biodanza, qui m'a redonné le plaisir du mouvement, le simple plaisir d'habiter mon corps - et tout ce chemin d'être-devenir femme, ces dernières années.
Cette semaine, deux pas (de danse) décisifs : me suis inscrite à un cours de danse orientale. Et - même pas peur ! - David et moi avons pris notre première leçon de Tango - exercice préparatoire au stage prévu à la Toussaint. Bonheurs : apprivoiser cette danse magnifique, que j'aurais crue à priori inaccessible. Le faire ensemble. Le soir même, aller esquisser quelques pas évidemment maladroits mais ravis parmi les danseurs du quai d'Austerlitz.
Mais...
Il y a eu la liberté de danser retrouvée au Hameau, et celle de la Biodanza, qui m'a redonné le plaisir du mouvement, le simple plaisir d'habiter mon corps - et tout ce chemin d'être-devenir femme, ces dernières années.
Cette semaine, deux pas (de danse) décisifs : me suis inscrite à un cours de danse orientale. Et - même pas peur ! - David et moi avons pris notre première leçon de Tango - exercice préparatoire au stage prévu à la Toussaint. Bonheurs : apprivoiser cette danse magnifique, que j'aurais crue à priori inaccessible. Le faire ensemble. Le soir même, aller esquisser quelques pas évidemment maladroits mais ravis parmi les danseurs du quai d'Austerlitz.