Pierre Rabhi, Sixto Rodriguez "Sugar Man", deux documentaires vus sur du bouche-à-oreille, deux portraits d'hommes engagés, cohérents, profondément humanistes ; le film sur Rabhi est plein de pépites, comme son duo malicieux avec Edgar Morin ou sa parole, qui n'est pas seulement profonde mais profondément poétique (jolie anecdote sur notre spécifique capacité humaine d'admirer, de contempler). L'histoire de Rodriguez est incroyable, mais plus incroyables encore sont sa simplicité, son humilité, et ses chansons sont superbes... la scène de son premier concert en Afrique du Sud m'a émue aux larmes.
Dans le même temps, le bouquin de Martin Hirsch, recommandé par Marion, et la chanteuse Buika, fléchée par une patiente : même humanité "habitée", vivante, vibrante...
Je ne l'ai pas mis en oeuvre encore, mais je caresse le projet de faire un pêle-mêle de ces humains inspirants, espérants ; dans les découvertes récentes, j'y ajouterai encore le Higelin de Beau Repaire (quelle vitalité, quelle poésie, là aussi) et le dernier Yalom, inépuisable source d'inspiration dans mon travail... tous, pour la même raison (ou la même folie...) - quelque chose d'un rayonnement, d'une lumière intérieure.
Dans le même temps, le bouquin de Martin Hirsch, recommandé par Marion, et la chanteuse Buika, fléchée par une patiente : même humanité "habitée", vivante, vibrante...
Je ne l'ai pas mis en oeuvre encore, mais je caresse le projet de faire un pêle-mêle de ces humains inspirants, espérants ; dans les découvertes récentes, j'y ajouterai encore le Higelin de Beau Repaire (quelle vitalité, quelle poésie, là aussi) et le dernier Yalom, inépuisable source d'inspiration dans mon travail... tous, pour la même raison (ou la même folie...) - quelque chose d'un rayonnement, d'une lumière intérieure.