J'aime beaucoup l'idée qu'en 2018, on puisse inventer la façon dont on souhaite se marier - créer de nouveaux rites, personnaliser les mots, et proposer une façon de fêter l'événement qui nous ressemble. Il y a eu Antoine et Vincent, Clara et Thibaud - aujourd'hui c'était le tour de Guillaume et d'Hugo - et je ne sais pas si cela ressemblait à Guillaume, que j'ai découvert ce jour-là (mais je suppose fortement que oui :-)), mais je suis sûre que cela correspondait bien à l'idée que j'ai de mon ami Hugo.
Un petit comité de passionnés, de littéraires, de créateurs - enseignants, artistes, ou les deux. L'amour des mots est omniprésent - et la première conséquence de cela, c'est une série de discours tous plus émouvants les uns que les autres, personnels, talentueux - bien loin de l'exercice convenu et habituellement très ennuyeux des mariages dits classiques. Au point qu'à la fin de la journée, Elsa rêvait mariage ne serait-ce que pour le déluge de déclarations d'amour et de jolis textes - poétiques, humoristiques, oniriques... Les mariés, les témoins, les parents - chacun y est allé de sa plus belle plume - et quel cadeau plus personnel, plus intime que des les partager devant les proches réunis ?
Le petit groupe, c'est aussi la possibilité de rencontrer, d'interagir, de jouer - bien plus que dans les grandes réceptions. A fortiori quand tout le monde est assis sur l'herbe, à se distribuer des salades bio-bobo-vegan-ou-pas - ça crée des liens ! Jouer à Blanc Manger Coco avec les parents du marié aussi, je pense... Plus sérieusement, un pique-nique sur une île du Lac Daumesnil, c'était une idée de génie non ? Au milieu des cygnes et des paons, avec un chien, un bébé et un chapeau (accessoires réglementaires du mariage réussi), à l'ombre ou au soleil, et la possibilité de faire un tour en barque, une sieste sous les arbres ou juste de papoter avec des gens sympas déjà croisés auparavant, Colin, Matthieu, Mathilde, Vivien et Iris...
Un petit comité de passionnés, de littéraires, de créateurs - enseignants, artistes, ou les deux. L'amour des mots est omniprésent - et la première conséquence de cela, c'est une série de discours tous plus émouvants les uns que les autres, personnels, talentueux - bien loin de l'exercice convenu et habituellement très ennuyeux des mariages dits classiques. Au point qu'à la fin de la journée, Elsa rêvait mariage ne serait-ce que pour le déluge de déclarations d'amour et de jolis textes - poétiques, humoristiques, oniriques... Les mariés, les témoins, les parents - chacun y est allé de sa plus belle plume - et quel cadeau plus personnel, plus intime que des les partager devant les proches réunis ?
Le petit groupe, c'est aussi la possibilité de rencontrer, d'interagir, de jouer - bien plus que dans les grandes réceptions. A fortiori quand tout le monde est assis sur l'herbe, à se distribuer des salades bio-bobo-vegan-ou-pas - ça crée des liens ! Jouer à Blanc Manger Coco avec les parents du marié aussi, je pense... Plus sérieusement, un pique-nique sur une île du Lac Daumesnil, c'était une idée de génie non ? Au milieu des cygnes et des paons, avec un chien, un bébé et un chapeau (accessoires réglementaires du mariage réussi), à l'ombre ou au soleil, et la possibilité de faire un tour en barque, une sieste sous les arbres ou juste de papoter avec des gens sympas déjà croisés auparavant, Colin, Matthieu, Mathilde, Vivien et Iris...
Ah, et puis sur notre quatuor recomposé, Matthieu a eu cette jolie phrase : "J'étais tout embrouillé, ils ont tous l'air à la fois si jeunes et si adultes !" - A bien y réfléchir, c'est assez juste - des adultes dont affleure la part d'enfance (et qui sont encore à peu près bien conservés ;-)), des ados à la maturité parfois surprenante, il y a de quoi s'y perdre un peu en effet.