...a commencé avec un article dans mon ELLE favori. Un challenge : arrêter de râler pendant 21 jours : pas de plaintes, accusations, explosions plus ou moins grossières contre les êtres ou les choses, ragots rancuniers sur les uns ou les autres (on peut se plaindre dans sa tête, ouf ! et surtout, on peut exprimer refus et désaccords : mais autrement - grosso modo, sur le mode de la Communication Non Violente).
Un support : un bracelet élastique que l'on change de poignet à chaque flagrant délit de râlage. Evidemment, le compteur des 21 jours est remis à zéro à chaque fois...
Je trouve la mission difficile, peut-être impossible, surtout en période de crise. Et en même temps, après quatre mois de crise aiguë ininterrompue (et de constat de l'inutilité de la plainte comme du reproche, même quand ils sont justifiés, et de la tendance de ceux-ci à s'amplifier de façon incontrôlable), je me demande s'il n'y aurait pas là quelque chose à tenter...
Et puis, j'aime beaucoup l'invitation à la vigilance, à soigner la qualité de l'expression de soi y compris dans le conflit, et à trouver des solutions alternatives, que ce défi représente. Et plus encore, la proposition d'utiliser l'espace et le temps de cerveau rendu disponible pour célébrer / remercier - ce qui était l'idée initiale de mon ex Boîte à Bonheur, désormais Care Box. Je suis convaincue que quel que soit le temps nécessaire pour atteindre (ou non) les 21 jours de détox râlage, les effets positifs ne peuvent que se faire sentir très vite...
Il y a aussi un livre, et un site, qui peuvent être des points d'appui intéressants.
Ai commencé le 1er août. Bon, ben j'en suis toujours à J1 hein... ;-)
Un support : un bracelet élastique que l'on change de poignet à chaque flagrant délit de râlage. Evidemment, le compteur des 21 jours est remis à zéro à chaque fois...
Je trouve la mission difficile, peut-être impossible, surtout en période de crise. Et en même temps, après quatre mois de crise aiguë ininterrompue (et de constat de l'inutilité de la plainte comme du reproche, même quand ils sont justifiés, et de la tendance de ceux-ci à s'amplifier de façon incontrôlable), je me demande s'il n'y aurait pas là quelque chose à tenter...
Et puis, j'aime beaucoup l'invitation à la vigilance, à soigner la qualité de l'expression de soi y compris dans le conflit, et à trouver des solutions alternatives, que ce défi représente. Et plus encore, la proposition d'utiliser l'espace et le temps de cerveau rendu disponible pour célébrer / remercier - ce qui était l'idée initiale de mon ex Boîte à Bonheur, désormais Care Box. Je suis convaincue que quel que soit le temps nécessaire pour atteindre (ou non) les 21 jours de détox râlage, les effets positifs ne peuvent que se faire sentir très vite...
Il y a aussi un livre, et un site, qui peuvent être des points d'appui intéressants.
Ai commencé le 1er août. Bon, ben j'en suis toujours à J1 hein... ;-)