...j'aurais dit à David, il y a quelques temps, que les séparations étaient faites de tout ce qui n'avait pas pu se dire en temps et en heure (je serais plus sage que je ne le pense ? ;-)). En écho à cela, j'ai entendu cette semaine que la colère qui demeure n'était rien d'autre que de l'amour qui ne trouvait plus à se donner, ce que je trouve être une très juste et sensible approche de la colère... et j'ai envie d'y ajouter une autre phrase, reçue par mail celle-ci : Et n'oublie pas que le plus grand des mantras est OUI.