La Zaza : "Dans ma classe, je me sens comme un poireau au milieu d'un champ de maïs".
Passé le premier sourire, j'ai exploré un peu - décalages éducatifs, culturels, personnels aussi - ma Zaza si entière, parfois un peu brutale, habituée à des relations amicales et saines avec les garçons (une constante remarquable de son école primaire), pas toujours élégante bien qu'assez girly, mais solidaire, attentive, très fine émotionnellement, a parfois en effet de quoi se sentir comme un poireau dans un champ de maïs... Je lui ai suggéré de se mettre en quête d'éventuels autres poireaux déguisés en épis de maïs. Voire, de partir à la rencontre des carottes. J'ai confiance - elle va trouver.