02 août 2008

Parigote...

...émerveillée. Parce qu'en arrivant chez les cousins de Provence, nous avons été accueillis par un panier de légumes fraichement cueillis, une bouteille de l'huile de leurs oliviers, et le rosé au frais. Plus fort que la corbeille de fruits exotiques des grands hôtels ! Parce que les enfants se sont goinfrés de pêches et de brugnons encore chauds du soleil qui les a dorés, cueillis directement sur les arbres. Parce que l'espace - le silence, la maison au bout d'une route de cailloux, le soleil qui se couche sur la vallée. Parce que dans la maison des vendangeurs, qu'ils nous prêtent, la fenêtre de notre chambre ouvre directement sur les vignes.