Les jours se suivent et ne se ressemblent pas, cette semaine j'aurai dîné dans le noir avec un prof de philo burkinabé, déjeuné au Luxembourg avec un océanographe, mangé de la tartiflette avec un trio de super nanas avec lesquelles nous avons beaucoup ri de nos expériences sur les applis de rencontres, pleuré toute seule dans ma bière le soir de la Saint-Valentin - tout ça pour passer la nuit de samedi à dimanche dans les bras de Samir, parce que, malgré tout ce qui rend cette histoire de plus en plus impossible, c'est toujours là que j'ai envie d'être.
Ou : "On n'a pas le cul sorti des ronces", selon une de mes expressions favorites.