Décidément – il n’y a rien qui me réjouit tant que la parole libérée des conventions et des identités officielles – l’ouverture à ce que nous sommes – tâtonnements, brefs bonheurs, interrogations, expérimentations hors des prés carrés de notre éducation et de notre pas si bonne société… Le lien, le désir, l’amour, ne sont jamais comme dans les livres – ni conformes à ce qu’on nous en dit. ET ALORS ?