En écho à une récente discussion avec ma nouvelle thérapeute : parce que les anniversaires, les naissances, les mariages, les enterrements, on y va, la question ne se pose même pas. Même s'il y a des grèves et des inondations :-) ! Pas pour des raisons de conventions sociales, mais parce qu'il faut des rites, parce que ce sont des moments pour affirmer quelque chose du lien, même s'il peut être ténu hors de ces occasions, pour tisser une histoire commune. Parce que nous avons la chance d'être vivants, et que cette vie est fragile (je lisais l'autre jour : Ne nous plaignons pas de vieillir, c'est une chance qui n'est pas donnée à tout le monde). Je suis très heureuse de ce week-end. Nous avons bien fait !