Cette année, les chemins d'échanges de maisons nous ont amenés au Maroc. Et si j'avais des souvenirs de Marrakech, pour Léo et Elsa, il y aura eu une expérience entièrement nouvelle, un dépaysement total. Un des grands bonheurs de l'échange, c'est l'immersion dans une vie de quartier, les contacts locaux, le quotidien dans une vraie maison habitée - et nous avons été gâtés ! Une jolie maison typique dans un derb qui ne l'était pas moins, les bons contacts pour nous déplacer facilement et profiter de la délicieuse cuisine marocaine... et tous les plaisirs d'une double expérience, le rythme trépidant de Marrakech, la paix d'Essaouira - à l’exception de la fête foraine sous nos fenêtres, mais elle nous a invités à découvrir de charmants restaurants et à en profiter tard !
A Marrakech, des contrastes, des couleurs, des odeurs, des saveurs - la touffeur des souks et la fraîcheur de la magnifique piscine du hammam, du parc aquatique ou des cascades de l'Ourika, l'agressivité des vendeurs et la bonne humeur de Rachid, notre taxi, l'agitation de Jemma El Fna et le silence des ruelles ou des palais désertés, l'extrême pauvreté dans la rue et les splendeurs de la Mamounia, l'odeur des cuirs de chèvre ou de mouton et les senteurs de la cuisine de Nezha - et celle du thé à la menthe, whisky berbère à toute heure du jour.
L'impression de se promener dans un conte oriental où rien ne manque, palais somptueux, ânes et chevaux dans les rues, enfants aux grands yeux, herbes médicinales aux pouvoirs quasi-magiques...
Déroutée par le jeu du marchandage, les prix de départ étant si ridiculement élevés que le mi-chemin reste encore largement une façon de plumer le touriste, et l'agressivité monte vite si l'on refuse un jeu pourtant perdant à coup sûr. J'ai pris le parti d'acheter à prix fixe - ce qui est probablement dommage... Déçue aussi de la rencontre impossible - aucun sourire, aucune offre de renseignement, aucun geste apparemment spontané n'est gratuit. Le prix à payer sans doute pour la disparité des niveaux de vie - mais un vrai regret cependant.
A Essaouira rien de semblable - tout était plus léger et plus frais : l'air, les gens, les prix... Une ville de bord de mer, qui évoque à la fois les maisons grecques blanches et bleues et les remparts de Saint-Malo (avec des crêpes bretonnes à tous les coins de rue !), un souk populaire, authentique, et quelques lieux magiques - le Caravane Café, son ambiance festive et pleine de surprises (le propriétaire se veut passeur de bonheur), le restaurant de l'Océan Vagabond, si paisible face au coucher de soleil après une bonne après-midi d'initiation au surf - une autre des belles découvertes inattendues de ces vacances !
A Marrakech, des contrastes, des couleurs, des odeurs, des saveurs - la touffeur des souks et la fraîcheur de la magnifique piscine du hammam, du parc aquatique ou des cascades de l'Ourika, l'agressivité des vendeurs et la bonne humeur de Rachid, notre taxi, l'agitation de Jemma El Fna et le silence des ruelles ou des palais désertés, l'extrême pauvreté dans la rue et les splendeurs de la Mamounia, l'odeur des cuirs de chèvre ou de mouton et les senteurs de la cuisine de Nezha - et celle du thé à la menthe, whisky berbère à toute heure du jour.
L'impression de se promener dans un conte oriental où rien ne manque, palais somptueux, ânes et chevaux dans les rues, enfants aux grands yeux, herbes médicinales aux pouvoirs quasi-magiques...
Déroutée par le jeu du marchandage, les prix de départ étant si ridiculement élevés que le mi-chemin reste encore largement une façon de plumer le touriste, et l'agressivité monte vite si l'on refuse un jeu pourtant perdant à coup sûr. J'ai pris le parti d'acheter à prix fixe - ce qui est probablement dommage... Déçue aussi de la rencontre impossible - aucun sourire, aucune offre de renseignement, aucun geste apparemment spontané n'est gratuit. Le prix à payer sans doute pour la disparité des niveaux de vie - mais un vrai regret cependant.
A Essaouira rien de semblable - tout était plus léger et plus frais : l'air, les gens, les prix... Une ville de bord de mer, qui évoque à la fois les maisons grecques blanches et bleues et les remparts de Saint-Malo (avec des crêpes bretonnes à tous les coins de rue !), un souk populaire, authentique, et quelques lieux magiques - le Caravane Café, son ambiance festive et pleine de surprises (le propriétaire se veut passeur de bonheur), le restaurant de l'Océan Vagabond, si paisible face au coucher de soleil après une bonne après-midi d'initiation au surf - une autre des belles découvertes inattendues de ces vacances !