Si tout est nourriture, comme le disent les Ecritures de toutes les traditions, alors il est de notre devoir de veiller à ce qui nous nourrit. Et comment reconnaître la qualité de cette nourriture si ce n'est au degré de joie qu'elle nous procure ? Nourriture du coeur, de l'esprit, du corps. Nourriture qui allège, crée de l'espace, décrispe ce qui était jusque là lourd et serré.
Nourrir ce qui rend heureux, c'est entrer dans une dynamique, dans un chemin de transformation personnelle. C'est un acte vital qui, loin d'être égoïstement replié sur lui-même, irradie à l'extérieur et peut engager les autres vers le même processus. Car quand la joie brille dans un regard, elle illumine en retour celui qui la contemple.
Nourrir ce qui rend heureux, c'est refuser les habituelles sollicitations à trouver le bonheur dans un avoir toujours plus, pour retrouver en soi la source vivante et en prendre soin.
(Brochure Terre du Ciel été 2007)
Nourrir ce qui rend heureux, c'est entrer dans une dynamique, dans un chemin de transformation personnelle. C'est un acte vital qui, loin d'être égoïstement replié sur lui-même, irradie à l'extérieur et peut engager les autres vers le même processus. Car quand la joie brille dans un regard, elle illumine en retour celui qui la contemple.
Nourrir ce qui rend heureux, c'est refuser les habituelles sollicitations à trouver le bonheur dans un avoir toujours plus, pour retrouver en soi la source vivante et en prendre soin.
(Brochure Terre du Ciel été 2007)