Le temps. L'autre. Soi. Prendre le temps... de laisser être, de se laisser sentir, d'accueillir ce qui vient, ce qui est. Autant d'instants pleins - parce que dans cet instant, je me trouve là où je suis - je me trouve là où je suis - dans un lieu d'être :
Je dis espace j’entends ce point où le silence se fait en nous
Où nos jardins se font secrets, où nous pouvons entendre
La source oubliée et tranquille sans laquelle nous ne serions pas.
Où sommes-nous ? - nous sommes là où nous nous arrêtons...
Là où nous jetons nos armes, là où nous posons nos masques
Là où nous respirons - en silence.
Dans Paris ensoleillé, balades à vélo ou à pied, expos - deux regards de femmes sur les hommes, Sophie Calle et Camille Claudel - et un regard d'homme sur les femmes - Jonvelle, un shiatsu improvisé sur les pelouses du rond-point des Champs-Elysées, quelques bières fraîches en terrasse (blanches, avec une rondelle de citron), re-découvrir le quartier Saint-Germain. Ce qui ne se laisse pas si facilement saisir avec des mots, c'est l'accordance qui s'instaure à nouveau - sans mots et sans projet, un mouvement naturel... la liberté d'être soi avec l'autre.
Plus tard, des bonheurs simples à retrouver - une flûte de champagne dans le jardin, un hamac sous les cerisiers, les enfants qui improvisent avec le théâtre de marionettes qu'Elsa a reçu pour son cinquième anniversaire, ma belle-maman qui joue Roses de Picardie à la mandoline.
Je dis espace j’entends ce point où le silence se fait en nous
Où nos jardins se font secrets, où nous pouvons entendre
La source oubliée et tranquille sans laquelle nous ne serions pas.
Où sommes-nous ? - nous sommes là où nous nous arrêtons...
Là où nous jetons nos armes, là où nous posons nos masques
Là où nous respirons - en silence.
Dans Paris ensoleillé, balades à vélo ou à pied, expos - deux regards de femmes sur les hommes, Sophie Calle et Camille Claudel - et un regard d'homme sur les femmes - Jonvelle, un shiatsu improvisé sur les pelouses du rond-point des Champs-Elysées, quelques bières fraîches en terrasse (blanches, avec une rondelle de citron), re-découvrir le quartier Saint-Germain. Ce qui ne se laisse pas si facilement saisir avec des mots, c'est l'accordance qui s'instaure à nouveau - sans mots et sans projet, un mouvement naturel... la liberté d'être soi avec l'autre.
Plus tard, des bonheurs simples à retrouver - une flûte de champagne dans le jardin, un hamac sous les cerisiers, les enfants qui improvisent avec le théâtre de marionettes qu'Elsa a reçu pour son cinquième anniversaire, ma belle-maman qui joue Roses de Picardie à la mandoline.