...ça fait un peu beaucoup. Secouée, la Lu. Par la question de la mort (Françoise). Par la question du couple. Par la question du désir, justement (Sans réponse). Et par celle de la vérité. Et celle de la séparation (Gens que j'aime). Derrière chaque question, trop de fils étirés, invisibles, enchevêtrés... Trop d'enfance qui affleure, le coeur gros, la gorge serrée, mais que faire d'autre qu'avancer ? Ce matin quelques mots échappés, comme une direction indiquée : elle aimait la vie... une maison toujours ouverte, où chacun pouvait trouver sa place... la générosité... Et un rayon de soleil inespéré, illuminant les vieilles pierres de la Cathédrale. Et encore ceci : There's no way to happiness. Happiness is the way.