Y a Juliette qui chante (voir post précédent), et La Môme aussi, y a les Arts Sauts qui s'envolent (J'ai jamais eu les pieds sur terre... j'aimerais mieux être un oiseau), y a l'ex-RDA qui ressuscite le temps d'un redevenir humain (La Vie des autres), y a une Lulu déconcertée devant les collections du MacVal - un tour pour rien, un deuxième pour essayer de comprendre, un troisième pour laisser affleurer l'émotion, assez pour dire, je reviendrai, mais pour une visite guidée. Y a du plaisir dans tout ça, le sentiment d'être nourrie, d'avoir ouvert des fenêtres, emprunté d'autres regards.
Au MacVal il y a une oeuvre, de grands panneaux carrés de couleur évidés ou translucides qui font du musée un écrin, intérieur et extérieur, du visiteur une part intégrante de l'oeuvre, voir et être vu, voir d'un autre oeil la part de réel (?) que découpe le cadre, en couleur ou non, proposer un point de vue sur le monde.
Au MacVal il y a une oeuvre, de grands panneaux carrés de couleur évidés ou translucides qui font du musée un écrin, intérieur et extérieur, du visiteur une part intégrante de l'oeuvre, voir et être vu, voir d'un autre oeil la part de réel (?) que découpe le cadre, en couleur ou non, proposer un point de vue sur le monde.