18 mars 2011

Stade du miroir

Je lis toujours avec bonheur les poèmes affichés dans les rames ou sur les quais du métro (un peu de poésie dans ce monde de brutes). Ce matin, peut-être parce que je lis en ce moment sur la construction précoce de l'identité dans le regard de la mère, celui-là m'a frappé par son intuitive pertinence clinique : Devant la mer, j'ai besoin que tu aies un visage pour savoir où je suis.