Oui mais ascension de quoi ..? D'un passage un peu angoissé-bluesy, à la veille d'un week-end solo - les uns et les autres partis, et moi retenue... une ombre au tableau, insaisissable mais quelques jours opressante. Et finalement ? Ai profité d'une vraie solitude, sans même éprouver le besoin de sortir. Sauf pour me racheter des rollers (l'inscription en club me paraissant finalement un peu ambitieuse), et prendre un cours en groupe mais... seule aussi (les nouveaux rollers s'étant révélés pas du tout adaptés à mon faible niveau !) Ai bouquiné, re-re-revu Out of Africa (Redford est toujours aussi beau mais son personnage est passablement déplaisant, finalement, avec le recul...), rangé un peu, bullé avec le chat. What else ?
Et d'autant plus pleinement apprécié aussi des moments de bonheur amical - un film-de-filles... entre filles, une chouette expo sur l'histoire du jazz au Musée du Quai Branly, le dernier Almodovàr, une balade en Vélib' - sans contrainte horaire aucune, pas de pioupious à aller chercher, pas de baby-sitter à ramener, le temps de prolonger l'instant.
Et d'autant plus pleinement apprécié aussi des moments de bonheur amical - un film-de-filles... entre filles, une chouette expo sur l'histoire du jazz au Musée du Quai Branly, le dernier Almodovàr, une balade en Vélib' - sans contrainte horaire aucune, pas de pioupious à aller chercher, pas de baby-sitter à ramener, le temps de prolonger l'instant.