Depuis des années, je rêve devant les robes de Zélia. A la faveur d'une visite à la BnF historique, je traverse avec mon Elsa rue de Richelieu : viens, je vais te montrer un endroit magique.
La Zaza tire la langue devant les robes de princesse en vitrine, demande à entrer - matières somptueuses, couleurs chatoyantes, accessoires délicats - c'est vrai que c'est irrésistible. Nous avons alors la chance de faire la connaissance de... Zélia elle-même, petite fée rock'n'roll et survoltée, qui nous raconte d'un trait son nouveau projet - mettre le rêve à portée des petites filles, et pas seulement pour le cortège du mariage de la tante Bidule - mais pour qu'elles soient les princesses qu'elles sont vraiment (comme chacun sait).
Ce qu'elle transmet, c'est son énergie - l'énergie de qui est porté par son désir. Et d'évoquer pêle-mêle les petites mains marocaines qui créent des merveilles et la mafia russe, l'univers du luxe (...ou supposé tel) et les arts martiaux... un éventail déployé, vivant, et non dénué d'humour et de recul - aussi haut en couleur que ses robes. (Commentaire d'Elsa : J'ai pas tout compris, ce qu'elle a dit ? :-)))
Et de proposer à Elsa d'essayer juste pour le plaisir une délicieuse robe bustier imprimée de petits chats - une tout comme celles des grandes, avec une large ceinture de soie et de la dentelle noire... et une petite cape de laine tout droit sortie d'un conte de fée.
Quant à moi, j'ai eu un coup de foudre pour celle que la créatrice a dessinée pour les 20 ans de sa fille - une robe bustier courte (roses de velours noir, soie fuschia, laçage dans le dos) - essayée avec les longues bottes de cuir que je portais ce jour-là, et que j'aurai bien complétée d'un Perfecto...
Au retour de l'expo, en passant devant la boutique, Elsa me demande : Maman, on peut encore aller rêver ? Et c'est décidé : plus tard, elle ne veut plus être acrobate-photographe, mais créatrice de robes de rêve.
La Zaza tire la langue devant les robes de princesse en vitrine, demande à entrer - matières somptueuses, couleurs chatoyantes, accessoires délicats - c'est vrai que c'est irrésistible. Nous avons alors la chance de faire la connaissance de... Zélia elle-même, petite fée rock'n'roll et survoltée, qui nous raconte d'un trait son nouveau projet - mettre le rêve à portée des petites filles, et pas seulement pour le cortège du mariage de la tante Bidule - mais pour qu'elles soient les princesses qu'elles sont vraiment (comme chacun sait).
Ce qu'elle transmet, c'est son énergie - l'énergie de qui est porté par son désir. Et d'évoquer pêle-mêle les petites mains marocaines qui créent des merveilles et la mafia russe, l'univers du luxe (...ou supposé tel) et les arts martiaux... un éventail déployé, vivant, et non dénué d'humour et de recul - aussi haut en couleur que ses robes. (Commentaire d'Elsa : J'ai pas tout compris, ce qu'elle a dit ? :-)))
Et de proposer à Elsa d'essayer juste pour le plaisir une délicieuse robe bustier imprimée de petits chats - une tout comme celles des grandes, avec une large ceinture de soie et de la dentelle noire... et une petite cape de laine tout droit sortie d'un conte de fée.
Quant à moi, j'ai eu un coup de foudre pour celle que la créatrice a dessinée pour les 20 ans de sa fille - une robe bustier courte (roses de velours noir, soie fuschia, laçage dans le dos) - essayée avec les longues bottes de cuir que je portais ce jour-là, et que j'aurai bien complétée d'un Perfecto...
Au retour de l'expo, en passant devant la boutique, Elsa me demande : Maman, on peut encore aller rêver ? Et c'est décidé : plus tard, elle ne veut plus être acrobate-photographe, mais créatrice de robes de rêve.