Le questionnaire, je l'ai trouvé chez Cali - blog délicieux.
Le juke-box, c'est la "Chanson pour..."
- Pour la route : Don’t stop me now, de Queen, ou encore, Gronde, de Lynda Lemay, J’veux du soleil (Au p'tit bonheur) ou encore Prière Païenne, de Céline Dion
- De rage adolescente : ben, même adolescente, j’écoutais pas de chanteurs énervés. Quoique, si on écoute La statue, de Brel, ou J’ai troqué (Barbara), ou Les oiseaux de passage (Brassens)… Ah, et puis il y avait Thiéfaine et Renaud aussi – finalement.
- Pour faire danser : It’s raining men, ou Tainted love, ou n’importe quel extrait de Grease. Toutes les merdes disco et années 80, et quelques bons vieux rocks.
- Pour chialer dans sa bière : alors là il n’y a que l’embarras du choix… Trio gagnant du jour : Narrow daylight de Diana Krall, La ville s’endormait (Brel), ou encore Both sides now (Joni Mitchell)
- En hommage à un défunt : You’re missing, de Bruce Springsteen, Il est parti (Véronique Sanson), La demeure d’un ciel – c’est Camille.
- Berceuse : Songbird, d’Eva Cassidy (celle de la fleur-bleuissime déclaration d’amour silencieuse de Love actually). N’importe quel album de Lorena Mac Kennitt.
- Nostalgique : Currucucu Paloma (oui, celle dans Parle avec elle d’Almodovar), Un peu plus de noir, de Véronique Sanson, Song for Guy, d’Elton John
- Que vous admettez (honteusement) aimer : les œuvres complètes de Dassin, de Cloclo, et celles des Carpenters – même pas peur.
- Pour gratter ses plaies : Hallelujah, de Jeff Buckley, fait assez bien l’affaire. Des armes – Ferré interprété par Noir Désir – aussi. Ferré en général d’ailleurs… Mano Solo aussi…
- Pour avoir 13 ans : Goldman époque Je te donne, Voulzy époque Rockcollection, la musique de la Boum (Dreams are my reality…), Still loving you et Total Eclipse of the heart – Hôtel California c’était plus tard non ?
- Sexy : Fever, de Peggy Lee…
- Pour chanter sous la douche : M’envoyer des fleurs, de Sandrine Kiberlain, ou Paroles, paroles (est-il bien nécessaire de nommer les interprètes ?)
- Quand on tombe amoureux : Toi, et c’est Barbara. A chaque fois, de la même. Let’s fall in love (Sinatra). Quel jeu elle joue – c’est dans le dernier Julien Clerc. Concrete and Clay – c’est la musique de la pub avec la marmotte qui emballe le chocolat (mais si !). So natural – Lisa Stanfield.
- Quand ça fait mal parce qu’il (elle) est parti(e) : Pour que l’amour me quitte, de Camille (rien que le titre déjà…). When love goes wrong (nothing goes right), interprété par Marylin.
- Quand on attend un enfant : Room for the life, Kate Bush
- Pour les dimanches matin pluvieux : Feelin’ groovy (slow down, you move too fast) - c’est Simon & Garfunkel. Tout Sinatra, Armstrong, et les Beatles.
- Pour s’envoler : There must be an angel, des Eurythmics ; Dad and Co, personne ne connaît mais c’est dans la BO de Les uns et les autres ; Miracle Drug – c’est U2 ; Azul, obscur tube sud-américain. Le concept : chansons-qui-montent. Un autre exemple : Don’t leave this way, version Communards.
Je sais, personne n’a vraiment que ça a faire, et j’ai passé un temps non négligeable à le remplir moi-même. Mais j’y ai pris aussi beaucoup de plaisir, ainsi qu’à fouiner dans ma mémoire (et dans ma discothèque) – à ajouter ou encore à soustraire certaines catégories du questionnaire initial. A ceux que l’envie pourrait prendre de jouer à leur tour, je suggère de poster le leur en commentaire dans ce message. Have a good time !
- Pour la route : Don’t stop me now, de Queen, ou encore, Gronde, de Lynda Lemay, J’veux du soleil (Au p'tit bonheur) ou encore Prière Païenne, de Céline Dion
- De rage adolescente : ben, même adolescente, j’écoutais pas de chanteurs énervés. Quoique, si on écoute La statue, de Brel, ou J’ai troqué (Barbara), ou Les oiseaux de passage (Brassens)… Ah, et puis il y avait Thiéfaine et Renaud aussi – finalement.
- Pour faire danser : It’s raining men, ou Tainted love, ou n’importe quel extrait de Grease. Toutes les merdes disco et années 80, et quelques bons vieux rocks.
- Pour chialer dans sa bière : alors là il n’y a que l’embarras du choix… Trio gagnant du jour : Narrow daylight de Diana Krall, La ville s’endormait (Brel), ou encore Both sides now (Joni Mitchell)
- En hommage à un défunt : You’re missing, de Bruce Springsteen, Il est parti (Véronique Sanson), La demeure d’un ciel – c’est Camille.
- Berceuse : Songbird, d’Eva Cassidy (celle de la fleur-bleuissime déclaration d’amour silencieuse de Love actually). N’importe quel album de Lorena Mac Kennitt.
- Nostalgique : Currucucu Paloma (oui, celle dans Parle avec elle d’Almodovar), Un peu plus de noir, de Véronique Sanson, Song for Guy, d’Elton John
- Que vous admettez (honteusement) aimer : les œuvres complètes de Dassin, de Cloclo, et celles des Carpenters – même pas peur.
- Pour gratter ses plaies : Hallelujah, de Jeff Buckley, fait assez bien l’affaire. Des armes – Ferré interprété par Noir Désir – aussi. Ferré en général d’ailleurs… Mano Solo aussi…
- Pour avoir 13 ans : Goldman époque Je te donne, Voulzy époque Rockcollection, la musique de la Boum (Dreams are my reality…), Still loving you et Total Eclipse of the heart – Hôtel California c’était plus tard non ?
- Sexy : Fever, de Peggy Lee…
- Pour chanter sous la douche : M’envoyer des fleurs, de Sandrine Kiberlain, ou Paroles, paroles (est-il bien nécessaire de nommer les interprètes ?)
- Quand on tombe amoureux : Toi, et c’est Barbara. A chaque fois, de la même. Let’s fall in love (Sinatra). Quel jeu elle joue – c’est dans le dernier Julien Clerc. Concrete and Clay – c’est la musique de la pub avec la marmotte qui emballe le chocolat (mais si !). So natural – Lisa Stanfield.
- Quand ça fait mal parce qu’il (elle) est parti(e) : Pour que l’amour me quitte, de Camille (rien que le titre déjà…). When love goes wrong (nothing goes right), interprété par Marylin.
- Quand on attend un enfant : Room for the life, Kate Bush
- Pour les dimanches matin pluvieux : Feelin’ groovy (slow down, you move too fast) - c’est Simon & Garfunkel. Tout Sinatra, Armstrong, et les Beatles.
- Pour s’envoler : There must be an angel, des Eurythmics ; Dad and Co, personne ne connaît mais c’est dans la BO de Les uns et les autres ; Miracle Drug – c’est U2 ; Azul, obscur tube sud-américain. Le concept : chansons-qui-montent. Un autre exemple : Don’t leave this way, version Communards.
Je sais, personne n’a vraiment que ça a faire, et j’ai passé un temps non négligeable à le remplir moi-même. Mais j’y ai pris aussi beaucoup de plaisir, ainsi qu’à fouiner dans ma mémoire (et dans ma discothèque) – à ajouter ou encore à soustraire certaines catégories du questionnaire initial. A ceux que l’envie pourrait prendre de jouer à leur tour, je suggère de poster le leur en commentaire dans ce message. Have a good time !
Questions subsidiaires :
- Chanson décrivant un lieu
- Chanson qui vous rappelle votre enfance
- Chanson que vous auriez aimé écrire
- Chanson politique
- Chanson que vous détestez par-dessus tout
- ...